Les coupés à moins de 40 000 F, l'Auto-Journal, juillet 1978 PDF Imprimer Envoyer
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Jeudi, 11 Juin 2009 14:57

12 ESSAIS - LES COUPES A MOINS DE 40 000 F

Renault 15 TL - Fiat 128 Berlinetta Sport - Peugeot 104 ZS - Toyota Celica Liftback
Lancia Beta 1300 - Fiat X1/9 Lido - Triumph TR 7 - Matra Simca Bagheera
VW Scirocco GT - Opel Kadett Rallye 2.0 E - Ford Capri GL 1600 - Opel Manta LS

(André Costa, L'Auto Journal, 1.7.1978)

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Si les cabriolets représentent une espèce en voie de disparition, les coupés gardent leur place au sein de la production automobile et, naturellement, leurs partisans. D'un pays à l'autre et d'une marque à l'autre, la position qu'ils occupent varie dans une aussi large mesure que leur caractère et leur srtyle. Il nous a paru intéressant de rassembler et d'examiner douze coupés, onze européens et un japonais, d'une très grande diversité. Il se retrouvent ici dans un cadre peu commun.

De la belle montagne à la drôle de mer

Il est de bon ton - d'aucuns diraient même inévitable - que l'on présente quelque contrée que ce soit en précisant dès les premières lignes qu'elle est terre de contrastes. J'ajouterai dans le cas qui m'occupe, que nous avons affaire à un carrefour historique, voire à une place de rencontres et, ce faisant, j'aurai épuisé en un seul paragraphe un nombre des lieux communs très supérieur à la moyenne.
Le département de l'Hérault fait partie de l'ancienne province du Languedoc et, si l'on remonte plus loin, de la Narbonnaise romaine. Plus avant encore, la contrée était peuplée par deux tribus gauloises, les Arécamiques et les Tectosages, avant que le proconsul Dimitrius la conquière en 121 avant J.-C.
La théorie suivant laquelle l'actuel Languedoc est une terre étrangère conquise par les Français venus du nord peut donc être jugée discutable, d'autant qu'à la chute de l'Empire d'Occident, la région fut ravagée par les Vandales, les Alains, les Suèves et les Wisigoths, avant qu'elle soit occupée par les Sarrasins. Charles Martel puis Pépin le Bref vinrent quarante ans plus tard reconquérir le pays - sept ans de siège devant Narbonne - avant que Charlemagne en fasse le comté de Septimanie...

LE MEILLEUR ET LE PIRE

La langue d'oc - dénomination utilisée dans tout le royaume de France à partir du rattachement de la province en 1271 sous Philippe le Hardi - est rattachée à cette évolution historique. Elle fut et demeure aujourd'hui un amalgame entre les antiques dialectes gaulois, le médiocre latin parlé en Narbonnaise romaine et les apports fournis par les divers envahisseurs. La langue est riche, belle dans sa sonorité et l'occitan Pierre Goudouli la faisait déjà admirer à la cour de Louis XIV qui ne nourrissait contre elle aucune hostilité.
Aujourd'hui, tandis que mes mains tournent et retournent le volant au gré des sinuosités incessantes de la route, je rêve à ce passé et je tente de comparer avec le présent. Avec la mort de Rome, la mer romaine a également cessé de vivre. Les îles et les ports de l'Antiquité sont comblés ou cernés par les marécages et la beauté de la vie s'est réfugiée jusqu'au début du siècle dans l'arrière-pays, dans les plis de cet énorme massif - dit Central - qui n'en finit pas de mourir en s'étalant vers le sud.
Entre deux petits cols hargneux et tandis que mon regard se perd sur des pentes tellement peu habitées que les poteaux électriques y font défaut, je pense que le sort a fait payer cher au Languedoc la beauté de ses sites.
Tout comme en Cornouaille anglaise, les conquis ont longtemps conservé la nostalgie de leurs conquérants chassés par les barbares venus de l'est. Ils ont continué tant bien que mal à parler latin, manifestant par là un curieux penchant à nier l'évidence et l'autorité historiques.
Vibrant d'intellectualisme, le Languedoc a été tour à tour le Paradis et l'Enfer des grandes aventures religieuses : Cathares et protestants ont vécu là, en maîtres parfois impérieux, avant d'y mourir, glorieusement ou misérablement, mais toujours dans une sorte de tonnerre épique.
Et, de tout cela, il ne subsiste qu'un demi désert, grisant de pureté et prêt à accueillir les survivants de demain, ceux qui préféreront la vie à l'existence.
Surtout lorsqu'on se trouve au volant d'une voiture quelque peu sportive, il ne faut guère plus d'une heure pour passer de la grandeur aux formes les plus diverses de la dérision. Le cirque de Navacelle et son abîme aux proportions indiscutables, au fond duquel sont admirablement disposées les quelques maisons du village - dont la sympathique auberge de la Cascade -, la vallée de la Vis et ses mystérieuses disparitions, Saint-Guilhem-le-Désert et ses beautés romanes, les grottes et les châteaux semés çà et là par la nature et les hommes, les dizaines et les dizaines de vallées profondes creusées par l'eau qui ne manque guère en bordure des Causses, et puis, tout là-haut, les Cévennes et leur beauté sauvage... tout cela se trouve balayé en quelques tours de roues si l'on s'avise de trop dévaler vers le sud.
Lorsqu'on habite Montpellier, à quelques pas de la Méditerranée, il est normal que l'on rêve de sable, d'eau chaude, et que la valeur esthétique du lieu s'efface devant la béatitude quotidienne. Mais, cependant, était-il inévitable de parvenir à une telle laideur ?
Quels sont les responsables du massacre de la moitié est des côtes de l'Hérault ? Le hasard mêlé à l'indifférence humaine, à la négligence des autorités locales auxquelles est confié le patrimoine constitué par les sites naturels de ce pays, ont permis l'édification progressive et machinale de ce monument de la laideur et du désordre urbain qu'est Palavas-les-Flots. Je ne pense pas que l'on puisse trouver en France beaucoup d'endroits plus décourageants pour le regard et Carnon-Plage, l'agglomération voisine, lui fait un digne pendant.
Mais, après tout, le fait que des familles entières se satisfassent plus ou moins de ce cadre démontre clairement que l'habitude est réellement une seconde nature... et tant pis pour le passant! La beauté est, au reste, chose bien relative et les magnifiques flamants roses qui hantent les abords de Palavas me l'ont prouvé, en exhibant leur grâce altière dans les pires terrains vagues marécageux de l'endroit...
Non loin de là, la laideur change de génération avec la Grande-Motte. Je ne discuterai ni de la qualité des constructions ni du confort intérieur des appartements. Simplement - si l'on peut dire - le manque d'élégance de la plupart des édifices et la maladresse quasi générale dans la répartition de leurs proportions frappent le visage d'une façon plutôt brutale.
Quant à l'extension nouvelle, Grande-Motte-sud, elle semble prouver qu'une sorte de malédiction s'attache au site, le changement de style qu'on y perçoit pouvant difficilement être considéré comme un progrès.

HAVRE DE REPOS

Et puis, si l'on s'entête à percer à travers le désordre de Palavas, si l'on ne recule pas devant les gravats sahéliens où s'érige un camping hallucinant, une sente se glisse entre la mer et les marais, au ras des cultures indécises, pour parvenir jusqu'à un îlot de verdure échoué là, à l'écart de la décrépitude environnante.
Maguelone, trois syllabes douces et sonores à la fois... une silhouette médiévale à la grâce onduleuse... aux longues tresses blondes... La légende n'a pas manqué de magnifier le souvenir de la jolie fille d'un roi de Naples, de ses amours contrariées par les Sarrasins et son sarcophage de marbre est déposé dans une chapelle de l'étonnante cathédrale solitaire qui porte son nom.
Hélas, l'étymologie véritable du nom de la belle imaginaire reste bien incertaine. Maguelone fut une île, une place forte romaine six siècles avant J.-C., puis une possession Wisigoth avant d'être conquise par les Sarrasins puis en grande partie détruite par Charles Martel, lors de la reconquête qui suivit sa victoire de Poitiers.
Maguelone permit à Montpellier de naître mais elle en mourut. Les ruines de la cathédrale sans cité furent relevées au siècle dernier par Frédéric Fabrège et c'est grâce à ce mécène que l'on peut admirer la puissance majestueuse de ces murailles dont l'ordonnance fut imaginée voici onze siècles. Enserrée de verdure, Maguelone paraît se dissimuler volontairement, afin sans doute de se préserver d'un voisinage désastreux.
Entre la mer quelque peu souillée par l'homme et la montagne aux cents routes encore belles, la vigne étale ses tourments. Les sarments ne constituent pas ici une couronne incontestée comme en Bourgogne ou dans le Bordelais. Attaqués de toutes parts par les vins produits par nos associés du Marché Commun - Italie et, sans doute demain, Espagne et Grèce - les vignerons de l'Hérault sont périodiquement en colère.

QUALITE OU QUANTITE

Où se trouve la solution ? Sans doute dans une adaptation à la qualité et non plus à la seule quantité. Même si la terre de l'Hérault est moins adaptée à la production de grands vins que d'autres terroirs, il est possible d'évoluer vers des produits intéressants. Certains crus, comme le Saint-Saturnin rouge, montrent la voie et surtout les muscats - de Lunel, de Frontignan et de Mireval - devraient se tirer d'affaire. Mais il est vrai que le réveil est bien tardif lorsqu'on le compare aux efforts - d'imagination entre autres - accomplis par les viticulteurs de certaines autres régions productrices.
Et puis, quand même, tant que les gros rendements de ces cépages de second ordre que sont le Carignan et l'Aramon continuent à être considérés comme des atouts essentiels la qualité des vins ne pourra guère s'améliorer.
Je ne donnerai, en guise de conclusion, aucun itinéraire privilégié. Tous les liserés verts de la Michelin 83 méritent le détour et, pour les tempéraments plus aventureux, je recommande la R.F. se dirigeant vers Saint-Jean-de-Fos en partant de la D 122, non loin de Saint-Guilhem-le-Oésert... Malgré l'aspect rébarbatif de l'endroit, n'importe quelle voiture passe - sauf une Cadillac châssis long sans doute - à la condition de ne pas rouler trop vite. Beaux panoramas sauvages garantis!

PEUGEOT 104 ZS


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La silhouette du coupé 104 n'est pas accessible à la critique.
Il fallait une certaine audace pour couper tout bonnement l'arrière d'une berline
afin qu'il subsiste simplement cet amusant petit cube à roulettes.

Le coupé 104 ZS est remarquable en tout premier lieu par sa compacité. Son empattement ne dépasse pas 2,23 mètres tandis que sa longueur atteint tout juste 3,36 mètres. Il s'agit malgré tout d'une 2 + 2 offrant à l'arrière deux places de secours réelles, au détriment il est vrai du volume réservé aux bagages.
Les roues avant sont motrices et l'ensemble moteur, boîte et différentiel, est disposé transversalement et incliné à 72° vers l'arrière.

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Par rapport au bloc de série de 70 mm d'alésage et de 62 mm de course accusant une cylindrée de 954 cm3, le ZS est passé à 72 x 69 et à une cylindrée de 1 124 cm3. Avec un rapport volumétrique de 9,2 - super obligatoire comme on s'en doute - la puissance maximale atteint 66 ch DIN à 6 200 tr/mn avec un couple maximal de 8,5 mkg à 4000 tr/mn.
A remarquer que la culasse et le bloc lui-même sont en alliage léger, avec un arbre à cames en tête commandé par chaîne et un vilebrequin à cinq paliers. L'alimentation est assurée par un carburateur inversé double corps Solex de 32 tandis que la contenance du carter d'huile a été augmentée d'un demi litre par rapport au 954 cm3.
La boîte est à quatre vitesses, toutes synchronisées, avec un rapport de pont de 3 x 87 procurant une vitesse 1 000 tr/mn en quatrième de 25,6 km/h alors que le pont de la berline ne dépasse pas 23,6 km/h dans les mêmes conditions.
Autre différence par rapport à la berline, un stabilisateur transversal arrière et aussi des pneus 145 SR 13 montés sur des jantes de 4 1/2 au lieu des 135 x 13 montés sur des jantes de 4 du modèle de base.
Nous avons atteint sur le circuit de vitesse de Montlhéry une vitesse de pointe de 158,71 km/h tandis qu'en matière d'accélérations, les 400 m départ arrêté étaient couverts en 18 s 94/100 et les 1 000 m en 35 s 59/100.
La consommation mesurée sur route à 74,52 km/h de moyenne a été de 6,62 litres aux 100 km tandis que sur autoroute à 118,75 km/h de moyenne, nous avons noté 8,13 litres aux 100 km.
Le coupé 104 ZS est un petit engin parfaitement polyvalent. Il est agréable en ville en raison de ses faibles dimensions et de sa vivacité, parfaitement utilisable sur autoroute grâce à son souffle et à sa vitesse de pointe et extrêmement agréable sur route sinueuse, compte tenu de son punch et de ses qualités routières.
Sauf à très haut régime, le moteur n'est pas particulièrement bruyant et, bien que sa souplesse soit légèrement inférieure à celle du moteur de base, le ZS s'accommode quand même bien des encombrements urbains.

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La légèreté de conduite est un agrément indéniable, tout comme le rayon de braquage réduit. Sous-vireur sans excès, le ZS accepte le plus docilement du monde d'être bousculé au volant. Son comportement devient alors survireur et les parcours les plus sinueux sont absorbés sans coup férir.
Le petit mouton enragé de notre bergerie à roulettes. Seulement 1 124 cm3 et 66 ch mais un tempérament digne d'éloges et sans brutalité.
Le guidage de la boîte de vitesses a fait des progrès mais le conducteur sportif souhaitera concurremment une suspension un peu plus ferme et procurant moins de roulis en virage. Ce souhait se trouvant exaucé, l'adhérence des roues motrices s'en trouverait améliorée alors qu'elle est pour l'instant beaucoup plus évidente au freinage qu'à l'accélération. 

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De la place quand même dans le cadre de la formule 2+2, avec un hayon découvrant une bonne surface de rangement,
et toujours ce compte-tours!

Les sièges sont correctement dessinés et confortables, avec une accessibilité sans défaut. Le hayon postérieur dégage largement le compartiment arrière et la petite banquette peut être rabattue, découvrant ainsi une plate-forme de chargement importante. Il est cependant regrettable que les glaces arrière ne s'entretaillent pas et qu'aucune tablette ne vienne clore le compartiment bagages.
L'équipement général est très correct. Il comprend entre autres un compteur kilométrique partiel, un compte tours, une montre, un essuie-glace arrière et des appuis-tête. Il n'existe malheureusement pas de vide-poches clos.
Le coupé 104 ZS occupe parmi les 12 véhicules essayés une position bien particulière. Il est l'exemple même d'une polyvalence extrêmement séduisante et, qu'on ne retrouve nulle part ailleurs. Il est aussi le modèle le moins coûteux!

VITESSE MAXI : 158,7 KM/H - 1000 M DEPART ARRETE : 35 s 6/10
APTITUDE AU DEPASSEMENT
REPRISES 80/120 KM/H EN 40 : 17 S 6/10 SOIT 480 M - 80/120 KM/H DE 4e EN 3e : 11 S 2/10 SOIT 320 M
CONSOMMATION : AUTOROUTE A 118,7 KM/H : 8,1 L - ROUTE A 74,5 KM/H : 6,6 L
PRIX : 25 350 F

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CONSOMMATION

Roulant à vitesse constante, on quatrième, avec l'accélérateur calé, nous avons relevé une consommation aux 100 km de 5,1 là 40 km/h - 5 l à 50 km/h - 5 l à 60 km/h - 5,1 l à 70 km/h - 5,4 l à 80 km/h - 5,9 l à 90 km/h - 6,5 l à 100 km/h - 7,2 l à 110 km/h - 8 l à 120 km/h - 9,2 l à 130 km/h - 10,5 l à 140 km/h - 12,3 l à 150 km/h.

ACCELERATIONS VITESSE/TEMPS

Avec deux personnes à bord et on utilisant à fond les intermédiaires, nous avons atteint 40 km/h en 3 s 2/10 - 50 km/h en 4 s 2/10 - 60 km/h en 5 s 6/10 - 70 km/h en 7 s 1/10 - 80 km/h en 8 s 5/10 - 90 km/h en 10 s 9/10 - 100 km/h en 13 s 3/10 - 110 km/h en 16 s 4/10 - 120 km/h en 39 s 8/10 - 130 km/h en 24 s 9/10 - 140 km/h en 31 s 2/10 - 150 km/h en 39 s 8/10.

ACCELERATIONS VITESSE/ESPACE

Nous avons obtenu 76 km/h aux 100 m - 95 km/h aux 200 m - 108 km/b aux 300 m - 118 km/h aux 400 m - 124 km/h aux 600 m - 129 km/h aux 600 m - 134 km/h aux 700 m - 137 km/h aux 800 m - 141 km/h aux 900 m - 144 km/h aux 1 000 m.

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DIAGRAMME DES VITESSES

Ce diagramme sur lequel apparaissent la puissance et le couple maxi du moteur ainsi que les vitesses réelles en fonction du régime permet de déterminer les possibilités exactes du véhicule. Les droites issues de zéro indiquent les vitesses possibles sur chaque rapport en fonction du régime moteur.

CARACTERISTIOUES
MOTEUR : puissance fiscale : 6 CV. Cylindrée : 1 124 cm3. Quatre cylindres en ligne. Monté transversalement au-dessus de l'essieu avant et incliné de 72° vers l'arrière. Alésage : 72 mm, course : 69 mm. Refroidissement par mélange antigel à circuit hermétique avec vase d'expansion, pompe et thermostat. Ventilateur électrique à commande thermostatique. Contenance du circuit de refroidissement : 5,6 litres. Alimentation par un carburateur double corps inversé. Filtre à air sec. Contenance du réservoir : 40 litres. Allumage par distributeur et bobine. Batterie 12 V 30 Ah. Alternateur 500 W. Graissage sous pression par pompe à engrenage. Filtre d'huile. Contenance du carter : 4,5 litres. Soupapes en tête en V commandées par culbuteurs. Arbre à cames en tête entraîné par chaîne. Culasse et bloc cylindres en alliage léger. Vilebrequin à cinq paliers. Puissance maximale : 66 ch DIN à 6 200 tr/mn. Couple maximal : 8,5 mkg DIN à 4000 tr/mn. Rapport volum. : 9,2 : 1. Pneumatiques : 145 SR 13.
TRANSMISSION : ensemble motopropulseur à l'avant. Roues avant motrices. Embrayage monodisque sec à diaphragme, et à commande mécanique. Boîte à quatre rapports synchronisés. Levier de commande au plancher.
RAPPORTS DE BOITE : 1re : 3,881 : 1. 2e : 2,296 : 1. 3e : 1,501 : 1. 4e : 1,042 : 1. Marche arrière : 3,567 : 1.
DIRECTION : à crémaillère. Rayon de braquage : 4,35 m.
CHASSIS SUSPENSION : caisse autoporteuse. Suspension avant à roues indépendantes type Mc Pherson. Suspension arrière à roues indépendantes par bras tirés et ressorts hélicoïdaux.
FREINS : à disque à l'avant à tambour à l'arrière. Frein à main mécanique sur les roues arrière. Dispositif d'assistance.
CARROSSERIE : en tôle d'acier. Poids : 785 kg (475 kg à l'avant et 310 kg à l'arrière). Longueur : 3,30 m. Largeur : 1,52 m. Voie avant : 1,29 m, voie arrière : 1,24. Empattement : 2,23 m.
CARACTERISTIOUES DE PERFORMANCES : puissance au litre : 58,7 ch/I DIN. Puissance à la tonne : 84 ch. Cylindrée à la tonne : 1 432 cm3. Rapport poids/puissance : 12 kg/ch. Autonomie moyenne de la voiture : 520 km.